Venir au monde, aller ad patres.
Chaque instant et partout dans le globe terrestre des milliers de nouveaux nés voient le jours, au retour des milliers de gens rendent l’âme. On offre l’hospitalité, on fête l’avènement des bambins qui embrassent l’univers des terriens. De front on se renferme dans une sphère sombre et pénible si un parent cesse de vivre parmi nous. Rejoindre l’autre monde sempiternel ou on attribut l’immortalité aux mortels. Cette certitude n’a point préoccupé tant d’individus qui se noient dans l’emprise de la magie et de la fascination qu’exerce la vie. Rares sont les gens qui pensent à l’extinction brusque, l’abandon de la vie, des êtres les plus chers, avoir la foi de la vie de l’au delà et par la suite labeurs et efforts afin d’être récompensé.
Je vais mourir sinon l’un de mes proches une conviction gobée par tous les individus monothéistes ou polythéistes et de toutes religions. Nonobstant l’être humain a souvent la tendance de méconnaître voire dédaigner la mort en s’abritant, s’assurant derrière maints prétextes et alibis (je suis encore jeune, je suis en bonne santé …). On a peur d’être inhumer, d’être telle une entité sous terrienne..
Etre loin de Dieu de son indulgence, s’égarer de ce noble et unique sentiment s’avère demeurer au sein d’une fatiguant labyrinthe, un enfer terrestre, hélas ! Un nombre considérable d’individus barbotent dans ce fossé. On s’oublient dans la vie on omet la mort. En faisant face à la perte d’un proche on ne peut accepter ni surmonter tout simplement vu que la fin normal de chaque individu est oublié par nous tous.
Chaque instant de la vie est un pas vers la mort, à nos jours chaque instant de la vie est un pas vers une autre étape de la vie requise être somptueuse ainsi qu’immuable. Obsédé par l’antispiritualisme l’homme moderne s’éteint lentement dans les ténèbres et brumes.